Geai
« Mieux vaut pas de cuillère que pas de soupe. »
Sexe : C'est ça qui est bon il paraît. Se reproduire, tout ça... Ah. Moi ? Je ne vous croyais pas idiots à ce point. Et bien, pour votre gouverne je n'ai rien qui pendouille entre mes cuisses.
Race : Quel être a quatre pattes le matin, deux le midi et trois le soir ? Un Chat Garou pardi. Car il faut bien galoper dans les ruelles à l'aube, laisser ses mains chaparder de la nourriture lorsque le soleil est haut et que l'estomac crie famine et se lécher une patte pour rester propre à la fin de la journée...
Âge : Je n'ai jamais compté. Compter m'ennuie. C'est bon pour ceux qui n'ont rien d'autre à faire. Et moi, j'ai multitude de choses à faire. Me retourner pour réchauffer l'autre côté de ma fourrure pour commencer. Voilà. c'est mieux.
Faction : Le Chat n'appartient à personne. Mais... Si d'aventure il venait à se retrouver à un endroit convenable (et ensoleillé) et agréable (remplis de coussins et de caresses), alors peut être qu'Il resterait là bas.
Fonction/profession : Gardienne du Muret Ensoleillé. Grande Aventurière des Sous-Bois. Première Goûteuse de poisson frais. Certains viennent parfois s'offrir des prédictions de ma bouche. Cependant, bien malins ceux qui pourront distinguer la vérité du mensonge. Car s'il est vrai que le Chat a parfois quelques aperçus de ce que l'avenir nous réserve, il n'est pas tout-puissant. De même qu'il y a des secrets qu'il garde. Sagement ou non.
Mon "Père" exerçait le métier d'empoisonneur. S'il me l'a transmit en partie, c'est quelque chose qu'il vaut mieux taire et qui n'attire pas particulièrement la sympathie. A vrai dire, cela ne regarde personne.
Particularités : Je suis tout à fait normale. Mes griffes sont joliment acérées, un travail de toute une heure contre le bois à demi-moisi d'une porte. Mes iris verts sont finement ciselés. Et mes coussinets ne font guère plus de bruits qu'une plume qui tombe au sol. Bon, d'accord, je suis extra ordinaire. Vénérez-moi.
Possessions : Tout est à moi. Le soleil qui me réchauffe, le rat que j'ai mangé tout à l'heure, tes genoux sur lesquels je m'étire paresseusement, et même ta main qui devrait se faire un devoir de me caresser sans relâche. Tout appartient au Chat.
But, projets : Là où mon instinct me guidera, j'irais. Là où mes pas me guideront, j'aviserai. (Trouver du poisson et un endroit confortable ne serait pas de refus cela dit. Un volontaire?)
Descriptions
Physique :
Elle tourne sur elle-même, inconsciente du regard que les autres portent sur elle. Elle tourne, dans ce cercle imparfait qui ressemble plus à un ovale qu'à autre chose. Une silhouette élancée, fine, presque maigre. Elle semble flotter complètement sous sa robe sombre. Au milieu de la poussière du chemin de terre, ses pieds continuent leur danse improvisée, nus. Elle ne les aime pas, ses pieds. Elle les trouve trop petits, aux orteils boudinés. Une cheville fine, mais à la malléole mal placée, rendant les chaussures douloureuses à porter. Rien que cette pensée lui fait courir un frisson le long de l'échine… Ne pas y penser.
Elle virevolte au milieu de la route, évitant les badauds sans y prêter plus d'attention. Ou bien est-ce eux qui s'écartent d'elle, à la fois consternés et surpris, la laissant dans cette bulle de folie douce qui semble l'habiter. Les bras écartés, doigts tendus aux ongles pointus, Geai tourne. Elle tourne, tourne, la tête rejetée en arrière, ses longs cheveux emmêlés aux teintes ébène s'accrochant au vent de printemps. Ils ondulent dès que l'humidité dans l'air se fait trop présente, à son grand regret. Mais à cet instant, elle n'en a que faire. Car son regard est captivé, plongé loin, très loin dans le ciel, observant l'insecte qui volette de plus en plus bas dans l'azur du ciel. Les pupilles vertes s'attachent à suivre son vol, tandis qu'elle le suit au sol, ombre mouvante de ce papillon aux couleurs vives. Ses paupières aux cils trop longs papillotent un moment, lui faisant perdre quelques miettes de sa proie.
Ses sourcils sont haussés, toujours obsédée qu'elle est par l'insecte. Et sur ses lèvres, un sourire avide s'étale allègrement, le premier depuis le lever du jour, dévoilant une rangée de dents blanches trop pointues. L'air encore frisquet colore ses joues glacées de rouge, mais Geai n'en a que faire. Elle tourne encore une fois, se ramasse rapidement et saute, claquant ses deux mains dans les airs. Paume contre paume. Et entre elles, le papillon aux ailes écrasées.
UC.
Mentale :
Histoire
Citation ?
Au mois une dizaine de lignes
Le joueur
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